Un juriste du Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT) s’est vu remettre le « Code de comportement de l’administration fédérale ». Parmi ses obligations, il devait notamment veiller, dans sa vie privée, à ne pas nuire à la bonne réputation, au prestige et à la crédibilité de la Confédération. Suite à diverses interventions sur internet et par e-mail attribuées au juriste, le PFPDT lui a envoyé un projet de décision concernant la résiliation immédiate des rapports de travail. Dans la lettre d’accompagnement, il a été invité à prendre position par écrit. Les rapports de travail ont alors été résiliés immédiatement.