Licenciement d’un employé de la ville problématique
Licenciement d’un employé de la ville problématique
Licenciement d’un employé de la ville problématique
Les collègues de travail et les supérieurs d’un employé de la ville de Genève se sont plaints de son comportement « erratique » et menaçant. En revanche, la bienfacture de son travail n’était pas contestée. Il s’est lui-même plaint d’avoir été victime de harcèlement sexuel et de mobbing de la part d’un supérieur hiérarchique. Des mesures organisationnelles visant à limiter les contacts n’ont pas non plus permis d’améliorer la situation. L’employé a finalement été licencié, décision contre laquelle il a recouru devant les différentes instances.
Le Tribunal fédéral a considéré que le licenciement était justifié, étant donné que le comportement de l’employé faisait l’objet de plaintes depuis de nombreuses années et que suffisamment de mesures avaient été prises par la ville (entre autres des mesures organisationnelles visant à limiter les contacts entre l’employé et son supérieur ou encore la répartition des autres employés en plusieurs groupes). Le recourant a omis d’exposer quels aménagements auraient selon lui été propres à apaiser la situation (consid. 3.3). Le Tribunal fédéral a également considéré que le montant de l’indemnité reçue...
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